Massana

Publié le par Serge Prioul

 

Portugal-ete--2013-415.JPG

 

Où :  Sendim - Tras os Montes - Portugal

 

Quand : Juin 2013

 

Comment : A Sendim, il y avait autrefois des centaines de bottiers,

il n'en reste que quelques uns.
L'atelier tourné vers la rue, est minuscule, 4 ou 5 mètres carrés,

"mais mon cercueil sera encore plus petit !" répète Massana !

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M
<br /> Bel exemple de sagesse populaire... Sans transition, pour la 404, c'est marrant car je discutais avec le propriétaire de la 403 et on était d'accord pour dire qu'elle était très réussie et avait<br /> de très belles lignes... sur ce, je me suis empressé d'ajouter "en revanche, la 404 est vraiment moche. D'ailleurs cela correspond au moment où les voitures ont cessé d'être belles"... Et le type<br /> de faire une grimace. En fait, il avait aussi une 404 pour laquelle il vouait une vraie passion! Cela dit, il y avait au salon une 404 cabriollet plutôt bien réussie... Enfin, tout ça, c'est une<br /> autre époque...<br />
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S
<br /> <br /> Beaucoup de la passion vouée aux vieilles voitures vient de la nostalgie d'un passé soi-même vécu. Mais de plus en plus de jeunes gens, dont tu es sûrement, en sont<br /> aussi amoureux.<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> Qui a encore les moyens de s'offrir de la chaussure cousue main ? Le public concerné est tellement réduit que les bottiers n'ont d'avenir que dans les très grandes villes.<br />
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S
<br /> <br /> Les chaussures que fabriquaient Massana étaient très abordables pour un porte-monnaie de français (150 à 200 euros) au vu de la qualité. Il les garantissaient 10 ans<br /> minimum. Mais qui a envie d'avoir la même paire de chaussures pendant 15 ans ?<br /> <br /> <br /> <br />